Propos introductifs

« SaigloinAfrica » ou l’urgence de nous réveiller, de nous engager, d’agir

Amb TIETI

 

 

Par R. A. TIETI
Ancien Ambassadeur de Côte d’Ivoire
Fondateur et Administrateur 
de « Saigloin-Africa ».

Ecouter notre message ci-dessous

 

Une question : quand, dans notre communauté humaine, nous avons contribué à définir les actions que chacun doit mener, pour le bien de tous, qui blâmer si nous ne faisons pas notre part comme il se devrait et comme convenu ?

Une certitude : ce que nous, Filles et Fils d’Afrique, nous ne faisons pas et/ou nous ne voulons pas faire pour NOTRE CONTINENT, personne ne viendra d’ailleurs le faire à notre place.

Un rappel : Il y a 22 ans, en l’an 2000, débutait le 3ème millénaire. Tous les peuples du monde, librement, unanimement, ont décidé d’agir contre la pauvreté et les maux qui minaient encore l’humanité entière.

Du 6 au 8 septembre 2000, au siège de l’Organisation des Nations Unies (ONU), à New York, s’est tenu le « Sommet du millénaire » en présence des plus hauts décideurs des 189 États Membres.

Ils ont adopté la « Déclaration du Millénaire » incluant les « Huit objectifs du Millénaire pour le développement » (OMD) suivants, confirmés par le «  Sommet mondial » qui s’est tenu du 14 au 16 septembre 2005 à l’ONU :

  1. Réduire l’extrême pauvreté et la faim.
  2. Assurer l’éducation primaire pour tous.
  3. Promouvoir l’égalité et l’autonomisation des femmes.
  4. Réduire la mortalité infantile.
  5. Améliorer la santé maternelle.
  6. Combattre le VIH/SIDA, le paludisme et d’autres maladies.
  7. Assurer un environnement humain durable.
  8. Mettre en place un partenariat mondial pour le développement.

Si des progrès ont été réalisés, les experts notaient, déjà, en 2010 : « À mi-parcours de l’échéance de 2015, le bilan des objectifs du Millénaire pour le développement est inégal et nous nous trouvons face à rien de moins qu’une urgence en matière de développement. (…) Si les tendances actuelles se poursuivent, il est probable qu’aucun pays africain ne réalisera tous les objectifs. »

Au terme de ces 10 ans des OMD, en effet, beaucoup restait à faire. 

Du 25 au 27 septembre 2015, à l’ONU, les dirigeants du monde ont adopté 17 objectifs mondiaux de développement durable, détaillés en 169 cibles, pour mieux les cerner tous et « transformer notre monde ».

Le site internet officiel des Objectifs de Développement Durable (ODD ou Agenda 2030) indique qu’ils sont « un appel à l’action de tous les pays – pauvres, riches et à revenu intermédiaire – afin de promouvoir la prospérité tout en protégeant la planète. »

Ce second plan, sur 15 ans, jusqu’à l’horizon 2030, vise donc à « éliminer la pauvreté, protéger la planète et améliorer le quotidien de toutes les personnes, partout dans le monde, tout en leur ouvrant des perspectives d’avenir ».

Combien d’Africains, sachant lire, ont lu ce document qui, pourtant, nous met tous en mission, nous invite à nous mobiliser et à agir dans trois domaines : une action à l’échelle mondiale ; une action locale ; et une action individuelle ? Avons-nous lu le texte des OMD ?

Les Etats africains ont, presque tous, élaboré leurs Plans Nationaux de Développement calqués sur ces ODD. Avons-nous lu, savons-nous comment nos dirigeants veulent réaliser ces objectifs salutaires pour toute l’humanité et donc, forcément, salutaires pour chacun de nous ?  

Si, jusqu’ici, nous n’avons pas lu cet Agenda 2030, nous ignorons donc que nous devons agir, nous pouvons agir.

L’Afrique, malgré quelques progrès réalisés, reste un continent pauvre où la misère et le désespoir règnent. Preuve tragique et violente : ces milliers d’Africains qui périssent dans la traversée périlleuse de la mer Méditerranée.
Et pourtant, depuis 2005, les plans combinés, OMD et ODD, sur 25 ans, devaient éviter cela.

Or, nous voilà au début de l’année 2022. Il ne reste plus que 9 ans. Le compte à rebours a commencé.    

Que faire ? Nous avons lu et relu cet Agenda 2030. C’est une mine d’idées et d’opportunités à ne pas négliger plus longtemps. Bien sûr, pour profiter du trésor des ODD il nous faut tous agir.

AGIR, ici et maintenant, pour que demain, il ne soit pas trop tard, pour nous, pour nos enfants. AGIR, choisir des solutions innovantes qui vont nous aider à rattraper le temps perdu.   

D’où la création de « Saigloin-Africa » instruit par nos études en économie, nos expériences d’enseignant, en politique, nos voyages dans 33 pays et la mission d’ambassadeur de Côte d’Ivoire assumée pendant dix ans en Iran ; avec le privilège d’être Doyen des deux groupes africain et francophone.  

« Saigloin-Africa », est donc une plateforme digitale créée pour AGIR et PROMOUVOIR toute l’Afrique, dans sa riche diversité. Notre mission : vous aider à trouver, partout, des solutions, grâce à LA PUISSANCE DE DIFFUSION PLANÉTAIRE DE L’INTERNET et à NOTRE RÉSEAU DE PARTENAIRES FIABLES.

Nous publierons dans les 15 langues suivantes : anglais; français; arabe; portugais; espagnol; russe; chinois; allemand; japonais; hindi; indonésien; persan; turc; coréen et italien.
Ces langues sont, soit des langues officielles en Afrique, soit des langues officielles du système des Nations unies, ou des langues des pays riches du G20, ou encore, les langues les plus parlées sur Internet.

Africains d’Afrique et de la diaspora africaine à travers le monde, mobilisons-nous, agissons pour obtenir des résultats !
Etonnons le monde !
Merci.

 

 

Présentation de mes lettres de créance le 29 novembre 2001

 

SEM Laurent GBAGBO, alors  président de la République de Côte d’Ivoire, élu en octobre 2000, m’a nommé, en juillet 2001, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire  de notre pays près la République islamique d’Iran, avec résidence à Téhéran.

J’étais son conseiller spécial chargé de la Communication depuis novembre 2001 et ainsi, membre de son cabinet civil, à la présidence de la République.

Le jeudi 29 novembre 2001, j’ai remis mes lettres de créance à SEM Seyyed Mohammad Khatami, alors président de l’Iran.
Je suis resté en poste pendant 10 ans, jusqu’en 2011.

J’ai été, à la fois, Doyen du groupe des ambassadeurs africains et Doyen du groupe des ambassadeurs des pays francophones. 

En terme de superficie, l’Iran est 5 fois plus grand que la Côte d’Ivoire.

Quelques unes des images significatives de notre mission en Iran


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Très bien cerner les enjeux avec « SaigloinAfrica » et bien comprendre ce que nous proposons

(Cliquer sur chaque titre et lire)

La plateforme numérique « Saigloin-Africa » est une initiative exclusivement africaine, principalement au service des Africains et de l’Afrique, tout en étant ouverte au reste du monde. Elle offre à toutes les forces vives en Afrique, une visibilité mondiale comme jamais cela ne s’est fait jusqu’ici.

Il est, dès lors, important d’avoir une claire conscience des raisons de faire confiance à la plateforme « Saigloin-Africa » et de l’adopter.

D’après les données les plus récentes, l’univers de l’Internet c’est, actuellement, un océan de 1,7 milliard de sites Web, avec, environ, 200 millions de ces sites Web qui sont actifs.

200 millions ! Cela reste toujours un chiffre qui donne le vertige. Surtout que, malgré créations et fermetures ou pertes des sites Web, ce sont environ 4,5 milliards de personnes, à travers le monde, qui contribuent aux interactions en ligne.

Un tel univers, où les faussaires ne manquent pas, recommande de travailler avec des personnes qui :

  • Montrent, déjà, un amour de l’Afrique chevillé à l’âme,
  • sont animées, avec passion, du désir d’assurer la promotion du meilleur de toute l’Afrique,
  • possèdent l’expérience et la pratique des contacts de haut niveau à l’international,
  • ont une bonne connaissance des institutions, des organisations professionnelles, comme les Chambres de Commerce et d’Industrie, les Chambres d’Agriculture, les Chambres de Métiers et de l’Artisanat, mais également les sociétés coopératives, les mutuelles de développement, les professions artistiques, les syndicats,
  • s’appuient sur un riche réseau de contacts personnels fiables à travers le monde et
  • possèdent une carte de visite qui inspire respect et considération.

 

La passion pour l’Afrique, le travail acharné et la loyauté au service des Africains

C’est tout cela, à la fois, que vous offre notre plateforme numérique « Saigloin-Africa » grâce à son Fondateur – Administrateur, Roch d’Assomption TIETI.
 
En effet, Mr. TIETI, a un parcours académique et professionnel respectable, traçable, vérifiable. Titulaire d’une maîtrise en Sciences Economiques, il est ancien ambassadeur de Côte d’Ivoire en Iran (2001 – 2010), ancien Conseiller spécial de président de la République, ancien journaliste primé au niveau international, ancien enseignant, ancien responsable politique.
Il est actuellement Consultant international en Affaires et en Stratégies innovantes.

« Saigloin-Africa » est, justement, l’instrument de travail à travers lequel, son Fondateur – Administrateur se met au service de toute l’Afrique, de tous les Africains (femmes comme hommes) qu’ils vivent en Afrique ou dans l’une des diasporas africaines à travers le monde.

 Tout au long de ses 40 ans de vie professionnelle, le Fondateur et Administrateur de « Saigloin-Africa » s’est montré exigeant sur la qualité du résultat, travailleur acharné, infatigable, rigoureux, sérieux.

Mr. TIETI met un point d’honneur à préserver sa crédibilité et à protéger sa réputation.

Toutes choses qui font de lui un partenaire loyal, authentique, digne de confiance et absolument fiable.

 

Le cœur de notre mission et la raison de notre existence, c’est d’assurer une promotion planétaire du meilleur de ce que chaque africain ou groupe d’africains porte comme projet.

Il peut s’agir également  de tout ce que les Africaines et les Africains offrent comme biens et services ou ce qu’ils recherchent, sur la base d’un partenariat gagnant-gagnant, tant au niveau financier que technique.

Nous pouvons effectivement le faire grâce à la puissance de diffusion de l’Internet, que ces Africaines et ces Africains  vivent en Afrique ou dans l’une des diasporas africaines à travers le monde. 

« Saigloin-Africa » est un espace de communication, de promotion, de marketing, à la disposition de l’Afrique, de tous les décideurs africains, de toutes les entreprises africaines, de tous les porteurs de projets, de tous les élus locaux.

Notre plateforme digitale vise, plus spécifiquement,  à assurer une très large diffusion des Plans Nationaux de Développement durable des pays africains, élaborés dans le cadre de l’Agenda 2030 et à contribuer à leur réalisation.

Ce que « Saigloin-Africa » propose, de totalement inédit et de très fort, c’est qu’exactement la même information à diffuser sur cette plateforme numérique, sera traduite et publiée dans les 15 langues suivantes : anglais; français; arabe; portugais; espagnol; russe; chinois; allemand; japonais; hindi; indonésien; persan; turc; coréen et italien.

Comme souligné dans les propos introductifs (« SaigloinAfrica » ou l’urgence de nous réveiller, de nous engager, d’agir), ces langues englobent, en effet :

  • les 5 langues officielles parlées, ici ou là, dans les 54 pays africains,
  • les 6 langues officielles de travail du Système des Nations Unies,
  • les langues parlées dans les 19 pays qui, avec l’Union Européenne forment le forum intergouvernemental du Groupe des Vingt (pays du G20). Selon les chiffres de 2021, ce cadre de rencontres et de discussions multilatérales représente 75 % du commerce mondial, près des 2/3 de la population mondiale et plus de 80 % du produit mondial brut (somme des PIB de tous les pays du monde). Ils sont les pays les plus riches du monde.
  • les langues les plus parlées sur Internet, comme, par exemple, le persan (Iran)

 

S’adresser directement aux opinions publiques du monde et les conquérir

En travaillant dans ces 15 langues, « Saigloin-Africa » résout les problèmes suivants :

 1/ Les citoyens des pays dont ce sont les langues, bénéficieront du confort important d’un accès direct aux informations fournies dans leurs langues, au cours de leurs visites sur nos pages.

Ils gagneront du temps, puisqu’ils n’auront pas à recourir, , chaque fois, aux logiciels de traduction pour comprendre ce qui est dit ou écrit.
 
Chaque message leur est délivré directement dans leur langue officielle. Ce qui brise la barrière de la langue.

 

L’Afrique et les Africains présentés sous leur meilleur jour

2/ Un plus grand nombre de citoyens du monde recevront la même information vérifiée, fiable, de sources africaines crédibles sur les Africains et les différents pays d’Afrique. Ainsi, ils seront mieux informés des réalités de l’Afrique.

Ils recevront désormais, surtout, des informations qui valorisent les Africains et l’Afrique. Plutôt que de ne recevoir que des informations qui abîment l’image des Africains et de l’Afrique comme ils y ont été habitués, jusqu’ici.

Toutes choses qui les découragent, certainement, leur ôtent toute envie de l’Afrique. Et pourtant, ceux dont les médias se plaisent à peindre le continent africain en noir, ou à n’en parler que quand ce n’est pas valorisant, sont très présents et très actifs en Afrique.

Il n’y a absolument aucune raison pour que les citoyens ordinaires, mais surtout les femmes et les hommes d’affaires d’autres pays, ne soient pas mieux informés ; afin qu’ils puissent venir, maintenant, et regarder de près les opportunités qu’offre l’Afrique.

 

3/ Une chose est récurrente, des opérateurs économiques de différents pays, une fois qu’ils ont été mieux informés, à telle ou telle occasion, de ce qui peut se faire avec l’Afrique, montrent un grand intérêt.

Cela reste, malgré tout, souvent marginal, hélas, étant donné la faiblesse du déploiement diplomatique africain à travers le monde.

Il faut simplement que nous oeuvrions sérieusement à faire parvenir, jusqu’à eux, les vraies et bonnes informations sur les Africains et sur l’Afrique et les encourager fortement à venir, eux-mêmes, découvrir l’Afrique.

 

Une meilleure interaction entre pays, entreprises et citoyens africains

4/ Les Africains, eux-mêmes, recevront sur les différents pays africains, des informations auxquelles la barrière de la langue ne leur permettait pas d’accéder, jusqu’ici.

Ils connaîtront mieux les réalités des uns et des autres, ils se connaîtront mieux entre eux.

Cela va, indéniablement, générer des flux d’échanges divers et variés. Puisqu’un opérateur économique, par exemple, va se rendre compte qu’il lui est possible de trouver facilement dans tel ou tel pays d’Afrique, des biens et services pour lesquels il n’avait eu, jusqu’ici, d’autre choix que celui d’aller chercher hors d’Afrique.

 

« Saigloin-Africa » est une niche numérique, un cluster digital unique dans sa conception :

Opportunités d’investissements officielles

Il présente, dans les détails, les projets que chaque pays africain veut réaliser dans le cadre de chacun des 17 Objectifs de Développement Durable et de chacune de leurs 169 cibles.
Ce qui donne une lisibilité et une visibilité sans précédent sur ce que chaque pays africain veut réaliser et offre donc comme opportunités d’investissements officielles puisqu’il s’agit bien des projets portés par les gouvernements, par les les Etats.

Les potentialités, les projets de chaque pays sont donc présentés aux décideurs et aux citoyens des pays riches, à la même adresse de référence (www.saigloin.com) tout en demeurant spécifiques à chaque pays.

L’Afrique ne sera donc plus perçue comme une poussière de petits pays pauvres, dont on sait très peu de choses, mais, plutôt, comme un ensemble riche et varié où il est possible de réaliser des investissements massifs et lucratifs.

Par exemple, dans un domaine comme celui de la construction de logements, les financiers et autres industriels du secteur de l’immobilier, prendront conscience de l’importance du marché africain et de l’immensité des besoins avec des clients solvables.

 

Publicité multilingue pour les annonceurs africains

Les annonceurs africains disposeront d’espaces calibrés selon les normes internationales où afficher leurs messages publicitaires, leurs annonces.
Avec la caractéristique, puisqu’il s’agit d’assurer la promotion mondiale de l’Afrique et de ses atouts, et de toucher le maximum de personnes, que la même publicité sera affichée dans chacune des 15 langues décrites plus haut.

« Saigloin-Africa », vous l’aurez deviné, va faire bénéficier à chaque publicité d’un temps d’affichage un peu plus longs avec la possibilité pour le visiteur, d’utiliser les flèches directionnelles ou les points de répérage, pour bien voir, bien lire, un message qui serait passé trop vite à son goût.

 

Plateforme ouverte à tous les pays du monde qui peuvent aider l’Afrique

Notre idée, à « Saigloin-Africa », ce n’est pas de promouvoir une Afrique qui se replie sur elle-même, qui vit en autarcie. Non !
C’est  pour cela  que chaque pays du monde, chacun des peuples de ce monde, disposera d’un espace où présenter tous leurs atouts aux Africains.
Mais puisque c’est cela qui fait la force et le charme de l’Internet, cela voudra dire, présenter le meilleur de ce qu’ils sont et font au reste du monde également. Ainsi, l’Afrique pourra bénéficier de l’apport de nouveaux partenaires ou des partenaires traditionnels mais dont les citoyens seront mieux informés par les Africains, eux-mêmes.

 

Aujourd’hui, de nombreux pays du reste du monde veulent, soit établir soit renforcer, leur coopération avec les pays d’Afrique. Sans que cela n’implique, forcément, l’établissement de relations diplomatiques avec déploiement, en Afrique, de leur personnel diplomatique.

« Saigloin-Africa » leur en offre l’opportunité, grâce aux pages individualisées, personnalisées, “Best of …” qui leur permettront de s’adresser directement aux citoyens africains.

En effet, chaque pays du monde disposera de sa page « Best of … », à charge pour les officiels, les opérateurs économiques et les autres forces vives dudit pays, d’y afficher leurs informations.

L’avantage étant que cette information, c’est cela la magie de l’Internet, insistons sur ce point, sera également vue par les citoyens, potentiels clients, des autres pays du monde.

Il va, sans dire, que « Saigloin-Africa », plateforme initiée pour promouvoir le meilleur de l’Afrique dans toute sa riche diversité, tout en étant absolument ouverte au reste du monde, sera aussi un puissant cadre d’échanges permanents, en B2B et de e-commerce.

 « Saigloin-Africa » sera une vitrine d’exposition internationale permanente pour les décideurs gouvernementaux tout comme pour les opérateurs économiques, culturels et sportifs, dans leur interaction avec le reste du monde.

 

Coaching en « diplomatie économique »

Bien entendu, rien ne peut remplacer les contacts humains qui renforcent la confiance et constituent un puissant accélérateur de la coopération.

C’est pour cela que le fondateur -administrateur de “Saigloin-Africa”, ancien ambassadeur,offre aux pays africains et non-Africains, que cela intéresserait, d’être leur ambassadeur itinérant.

 « Saigloin-Africa » offre également de faire du coaching en diplomatie économique

Presque tous les pays demandent aujourd’hui à leurs diplomates de faire de l’éco-diplomatie, ou de la diplomatie économique. C’était le cœur de la feuille de route que nous avons reçue à notre nomination comme ambassadeur de Côte d’Ivoire en Iran, en 2001.

Pendant 10 ans, tant en Iran qu’en Côte d’Ivoire et partout où nous avons pu passer, nous avons travaillé sur cette base. Ce qui nous a valu de recevoir le trophée de « bâtisseur de l’économie ivoirienne » aux côtés d’autres récipiendaires, qui eux, étaient chefs de grandes entreprises.

Pour avoir enseigné de nombreuses années durant, et parce que nous avons conscience des enjeux présents de la compétition économique à travers la diplomatie, nous sommes prêts à partager cette expérience pour que, ici et là, à travers le continent, la diplomatie africaine devienne plus compétitive dans le domaine économique.

 

Initiation des dirigeants au fondamentaux du numérique

Bien avant la pandémie de la COVID-19 qui a imposé le télétravail, la digitalisation, la numérisation, l’informatisation comme moyens de réduction de la fracture numérique étaient devenues des impératifs à prendre en compte dans toutes les politiques de modernisation et de de développement.

C’est un classique, que de proposer aux clients, aussi bien du secteur public que du secteur privé, un accompagnement en communication, en marketing et, surtout, de leur offrir de créer leurs sites internet et d’héberger ceux-ci. « Saigloin-Africa » peut toujours le faire.
 
Cependant, pour nous, comme l’enseigne le philosophe chinois Confucius : « Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. »  
Aussi, nous paraît-il plus intéressant, de vous proposer de vous former à la connaissance, la maîtrise, l’utilisation des techniques de codage informatique pour construire, soit des blogs, soit des sites internet.

Les pages personnelles sur les réseaux sociaux, c’est bien. Mais retenez que là-bas, vous êtes dans la position d’un locataire. Alors que la création de votre site internet à vous, vous placera dans la position de propriétaire de maison. Souvenez-vous, toujours, que celui qui était le chef de la nation la plus puissance de cette planète, a vu ses comptes bloqués sur les réseaux sociaux. Exactement comme un locataire qu’un propriétaire vient chasser, à tort ou à raison.
 
Il est indispensable aujourd’hui, que l’on soit chef ou cadre d’entreprise, à la tête d’une structure décentralisée comme les communes, les conseils départementaux, les conseils généraux, les gouvernorats, ou si l’on est travailleur indépendant, de posséder votre propre site internet et de comprendre comment il a été construit.

Bien entendu, vous aurez besoin d’un informaticien, d’un webmaster, pour actualiser, animer votre site internet. Mais, déjà, au départ, parce que vous aurez une bonne connaissance des langages de codage, il vous sera plus facile de déterminer un cahier de charges plus précis pour guider votre webmaster au moment de créer votre site internet ou votre blog.

Et, pouvoir intervenir, soi-même, en cas de besoin, pour faire une mise à jour, une modification sur son site internet ou celui de la structure qu’on dirige, est un inestimable service qu’on se rend à soi-même.

 

Recherche de financements

L’un des problèmes cruciaux auxquels les responsables africains sont confrontés, quand ils sont aux affaires, à la tête des ministères, dans les entreprises publiques comme privées, c’est de trouver des financements pour la réalisation de leurs projets.
C’est, justement, pour pouvoir trouver des réponses concrètes que, instruit par les leçons apprises au cours de notre parcours de consultant international en affaires et en stratégies innovantes, nous avons compris l’impérieuse nécessité de créer la plateforme multilingue « Saigloin-Africa ».

Déjà, quand l’information relative à un besoin de financement est diffusée sur notre plateforme numérique, comme on l’a vu, elle peut, certes, intéresser les entreprises africaines qui sont dans le financement des projets.
Mais, cette information est destinée principalement, aux bailleurs de fonds de ces pays riches.
 
Grâce à l’accompagnement que nous proposons, nous appuyant, pour cela, sur nos différents points focaux dans ces différents pays, l’information est portée au plus grand nombre d’entreprises qui peuvent accorder les financements recherchés.

Ce n’est un secret pour personnes, ces économies sont en concurrence. Les manifestations d’intérêt vont, ainsi, permettre aux entités africaines de ne plus se retrouver seules, face à un seul interlocuteur qu’elles auront tendance à considérer comme une providence. Mais, bien des fois, d’avoir le choix entre plusieurs offres.

Cela est également valable pour tout partenaire technique. L’offre qu’il aura à faire sera comparée à d’autres propositions.

Enfin, il faut également signaler un élément important en matière de recherche de financements pour les projets : présenter sur «Saigloin-Africa » différents projets d’un même pays, de pays voisins, de pays de la même région géographique, va faire comprendre aux bailleurs de fonds, tout l’intérêt qu’ils ont à s’engager sur ces différents projets en Afrique.

Parce que, bien souvent, mêmes les partenaires traditionnels ne sont pas toujours très bien informés des multiples atouts et des opportunités attrayantes que les différents acteurs africains offrent.

 

Les messages du logo de « Saigloin-Africa »

La Forme complète du
logo de « Saigloin-Africa »

 

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Notre logo complet offre une combinaison de texte et d’images. L’adresse du site internet de la plateforme numérique est www.saigloin.com et le nom officiel, déposé, enregistré de la plateforme est exactement : « Saigloin-Africa ».

Le mot « SAIGLOIN » est un mot de la langue « dan » appelée aussi « yacouba », dans l’ouest de la Côte d’Ivoire. C’est un mot de l’ethnie du fondateur et administrateur de cette plateforme digitale qui signifie « amour de la terre des ancêtres », « patriotisme ».

Accolé à « AFRICA » (Afrique en anglais), on a tout simplement, « Saigloin-Africa ».

C’est l’expression de l’attachement, de l’amour pour l’Afrique, de la passion et de la fierté qu’on ressent à être africain. Tous sentiments qui nous imposent d’aimer et de défendre, en tout lieu, notre continent et de tout mettre en œuvre à soigner son image, ainsi que celles des Africains, partout où nous le pouvons.

Pour des besoins de création d’un visuel, le mot « Saigloin » est écrit de telle sorte que :

Primo : le « A » est remplacé par « @ » (arobase). Ce symbole s’utilise, certes, dans l’écriture d’une adresse à laquelle on 

envoie un courrier électronique; mais, surtout, il est admis comme le symbole de l’Internet dans son ensemble et, partant, de la communication moderne ;

Secundo : le « O » est remplacé par la roue multicolore qui symbolise les 17 Objectifs du Développement Durable (ODD).

Le mot « Africa » est, lui, remplacé par une carte de l’Afrique où, à l’emplacement géographique de chacun des 54 pays qui forment notre continent, figure le drapeau dudit pays qui en respecte et en dessine le contour géographique officiel.

Au-dessus de la ligne de base « Saigloin-Africa » ainsi stylée, on a une image où se distinguent 4 formes de 4 couleurs différentes mais complémentaires, deux à deux : deux teintes de vert dans deux formes induisant un mouvement ascendant puis l’orange et le jaune dans deux formes qui traduisent une dynamique descendante

Les deux formes ascendantes de couleurs vertes symbolisent la diversité des peuples africains et les deux grandes zones de végétation qu’ils habitent : la zone de forêt et la zone sahélienne.

Quant aux deux couleurs descendantes, l’orange et le jaune, elles sont le symbole de l’or (métal jaune), et de toutes les autres formes de richesses (orange).

Et leurs mouvements, complémentaires traduisent celui des Filles et des Fils de l’Afrique qui sortent du continent pour aller dans le reste du monde, à la recherche de la richesse, sous toutes ses formes, pour la ramener en Afrique.

Ainsi, pour sa contribution en vue d’atteindre et réaliser les Objectifs de Développement Durable, « Saiglon-Africa » :
– d’une part, s’appuie sur chacun des 17 objectifs et leurs 169 cibles de l’Agenda 2030, la feuille de route acceptée mondialement, adoptée par l’ensemble de l’humanité,  qui met chacun de nous en mission et

– de l’autre, décide de se servir de l’Internet, puissant moyen de communication de masse, pour atteindre, partout où cela est possible sur la planète terre, toutes les bonnes volontés, capables d’aider l’Afrique.

 

La Forme compacte du
logo de « Saigloin-Africa »

 

petit-logo-saigloin-africa_aboutus

 

Un logo, on le sait, est un identifiant visuel qui permet aux gens de se rappeler votre entreprise. La forme compacte du logo est destinée à apparaître à côté de la barre d’adresse et dans la liste des favoris d’un navigateur.
Ce qui aide les visiteurs à se souvenir de votre site Web, à l’identifier au milieu de multiples signets.

Nous retrouvons, dans cette forme compacte,  tous les éléments expliqués dans la partie « forme complète du logo », ci-dessus.
Avec, cette fois-ci, ‘S’ pour « Saigloin », ‘A’ pour « Africa », le @ » (arobase) et la roue des 17 ODD, gardant toutes leurs significations, tout comme les formes avec les 4 couleurs.